Ze boulizu épisode 3: La mort (artistique)
Comme dit dans le précédent épisode, on commenca à s'habituer au mode de production "et la routine s'installa". Routine=on ne réfléchit pas. On ne réfléchissait pas en faisant Duo, on n'y prenait aucun fun, on le faisait juste parcequ'il fallait le faire. L'autre fois, à la FNAC, il y avait ce fameux dessinateur, qui nous dit: "Le plaisir du dessinateur se ressent dans le dessin." Et ce plaisir n'y étais pas. Honnêtement, regardez donc le chapitre 4, ces dessins ne sont ils pas sans âme, sans émotions, vides de génie et de décor (surtout quand Achimi rentre dans le domaine, s'arrête devant le fenêtre et entre)? Cela correspondait à cette période là, à ma petite crise de depression (j'étais passé sous la barre du 19 en maths pour la première fois de ma vie, et n'en pouvait plus de ces petits crétins qui étaient les camarades de classe).
C'est donc d'une façon juste que l'on peut considérer cette période comme celle de la mort artistique.
Mais... mais... mais! Ben...Suite au prochain épisode!
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